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Parce que c'est vous qui en parlez le mieux:

"c'est votre histoire"

Attaques de panique et crises 

d'angoisse

Avez-vous déjà vécu cette terrible sensation de mort imminente ?

Bonjour, je m'appelle Sabine et j'ai 28 ans. Le mois dernier, Stéphane mon amoureux m'a fait cadeau d'un voyage en Grèce. 

Je suis heureuse mais la peur de l'avion gâche un peu la perspective de ce voyage.

 

  • Respiration,

  • crises d'angoisse,

  • troubles anxieux,

  • agoraphobies,

  • gestion du stress,

  • gestion des émotions,

  • les valeurs de vie

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Voilà nous y sommes  j'ai passé une mauvaise nuit. J'ai beaucoup de mal à respirer, je m'étouffe, l'air me manque.

Mon coeur bat très vite, j'ai la nausée, j'ai les mains sont moites, j'ai froid, très froid. 

Mes jambes sont molles, mes bras, mes mains, tout mon corps.

Je pourrais me laisse tomber là, dans cet avion.

J'entends la voix de l'hôtesse, loin très loin dans un brouillard me dire de respirer.

Respirer, respirer, mais je respire, enfin j'essaie, si elle croit que c'est simple !!!

Je m'accroche aux accoudoirs de mon siège, à la main de mon compagnon, je m'accroche à la vie.

Rien n'arrive à dissiper, à faire disparaitre cette énorme boule dans ma gorge. 

Je ressens le choc du tarmac sous les roues de l'avion, je peux enfin me détendre nous sommes arrivés sains et saufs.

Les paysages magnifiques, l'hôtel, mon compagnon, tendre et affectueux, tout serait parfait si seulement je n'étais pas obnubilée par une seule chose, le retour. Je suis terrifiée.

Malgré un traitement acheté à la pharmacie la veille, je vis un véritable enfer.

Depuis je ne sors plus, je me sens mal.

Les angoisses sont là, elles me guettent à chacun de mes pas. Je ne sors plus en ville avec mes copines.

J'envisage même de mettre fin à ma relation avec Stephane, je crois que je l'associe à mes angoisses.

Chaque fois que je le vois je repense à ce voyage en avion, à cette sensation horrible de peur de mourir, d'étouffement.

Et même si mes sentiments sont très forts je lui demande de retourner chez lui. 

Stéph, me téléphone, tous les jours, il est malheureux, ne comprend pas, les gens autour de moi, ma famille, ne comprennent pas.

Et je me sens encore plus mal, je culpabilise en plus. 

Ma vie est fini, mes rêves tombent à l'eau, un mari, des enfants, une belle maison sous les glycines. 

Je ne suis plus en vie, je suis dans la vie.

Stéphane me téléphone, et chaque fois je me sens de plus en plus triste, je l'aime tellement mais la peur des crises d'angoisse est plus forte que tout.

Il me dit qu'il a trouvé quelqu'un qui peut peut-être m'aider.

Il en a entendu parler par un de ses clients.

C'est une sophrologue spécialisée dans les troubles anxieux, les attaques paniques ... 

Une sophrologue, je ne sais même pas ce que c'est qu'une sophrologue ?

J'accepte quand même et je fais quelques recherches sur google.

Définition de la sophrologie : "Etude de la conscience en harmonie et des valeurs de l'existence",

qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire ?

Je fais un tour sur son site, j'aime les couleurs, sa photo, elle a l'air sympathique.

Stéphane décide de l'appeler en urgence et après avoir expliqué la situation obtient un rendez-vous le lendemain à 21h00.

Comme je ne peux plus conduire depuis cet incident, c'est Stéphane qui m'amène à mon rendez-vous.

Je n'ai pas beaucoup d'espoir, comment pourrait-elle m'aider ?

Nous pénétrons dans une petite ruelle, franchissons un petit portail, et là nous découvrons l'entrée du cabinet, une petite entrée.

Une personne souriante, nous ouvre la porte. 

Stéphane et moi pénétrons dans ce petit cabinet, chaleureux, je ne sais pas pourquoi je m'y sens tout de suite à l'aise. 

Nous discutons tous les trois, Mme Cassan invite mon compagnon à nous laisser seule.

Je me sens en confiance que je me confie très facilement.

C'est comme si nous nous connaissions depuis toujours une évidence.

Et là dans ce petit cabinet, cette petit ruelle, derrière cette petite grille, je confie toutes mes angoisses, mes peurs, mes doutes. J'entends sa voix, apaisante, rassurante, et surtout j'entends qu'elle me comprend, je ne suis pas folle.

Je sens mes larmes couler et je me laisse aller dans ce fauteuil. 

Après s'être assuré que j'avais consulté un médecin afin d'écarter toutes causes pathologiques, nous convenons d'un protocole adapté à mes besoins, mes possibilités.

Les semaines, les séances passent, je ne vois pas de suite l'amélioration.

Une séance, deux séances, trois séances, j'apprends à placer ma respiration, à réguler mes émotions, à gérer mes crises d'angoisse rapidement mais je ne peux toujours pas sortir de chez moi seule, je n'envisage même pas de sortir de la ville. 

Stéphane me propose un week-end à Paris.

No way !!!

Je n'abandonne pas, je continue mes séances, je me sens toujours écouté, comprise, je pratique, m'entraine, tous les jours, mes exercices de respiration, les séances enregistrées, je m'accroche à la vie, à l'espoir.

Cinquième séance, je décide d'accepter la proposition de Stéph, nous préparons ce week-end avec ma sophrologue

Je gère tant bien que mal, le voyage en voiture est long mais j'arrive à réguler mes angoisses avec ma respiration, les techniques acquises.

Malgré quelques légères angoisses, suis fière de moi, Béziers, Paris en voiture, 756 kms, et moi qui souffrait d'agoraphobie ...

Je me souviens des conseils de Mme Cassan, "j'avance pas à pas vers mon objectif, je suis bienveillante envers moi-même ..."

Et surtout, surtout je suis heureuse de pouvoir recommencer ma relation avec mon compagnon. Je me laisse à nouveau aller dans ses bras, et c'est agréable.

Sixième séance, septième, je continue mon travail, mon voyage vers moi-même, je gère facilement les crises qui sont de moins en moins nombreuses.

Avec Steph, nous avons repris nos projets, la maison, les papiers sont signés, il ne manque plus que la réponse de la banque...

Huitième séance, une semaine à Séville, 1267.00 kms.

Neuvième ... la banque a répondu, le prêt est accepté, nous sommes les heureux propriétaires d'une belle maison, sous les glycines. Moi, Sabine, je suis l'heureuse personne d'une nouvelle vie.

Les choses ne seront pas toujours faciles, les crises d'angoisse reviendront de temps en temps me rendre visite, mais je suis plus forte, enrichi de tout ce que j'ai appris pendant mes séances de sophrologie.

J'envisage maintenant réellement ma vie, avoir des enfants, rien n'est impossible.

Dixième et dernière séance.

Je fais le point avec ma sophrologue, dans "cette cabane" où j'ai passé tant de temps à pleurer, à rire, à espérer.

Nous échangeons tous les trois avec Stéphane. Tant de choses ont chanté pour nous en quelques semaines.

Lorsque je passe la porte du cabinet, derrière cette petite grille, dans cette petite ruelle, je regarde le chemin parcouru ...

Je sais que maintenant que je suis l'actrice de ma vie, il ne me reste plus qu'à écrire la suite.

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Je revois Mme Cassan Valette quelques semaines plus tard.

Je suis tellement reconnaissante ... 

Elle me sourit tout simplement.

Je n'envisage pas pour l'instant un voyage en avion.

Je me reconstruis chaque jour davantage.

Lorsque le moment sera venu, j'irai revoir ma sophrologue avec plaisir afin d'écrire sereinement cette nouvelle histoire de ma vie.

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Sabine L. 28 ans.

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Plus les jours passent et plus j'angoisse.

Je décide d’en parler à mon médecin généraliste qui m’oriente vers une sophrologue.

Bien sûr comme presque tout le monde (enfin je crois) j’ai déjà entendu parler de la sophrologie dans les média notamment, mais je n’aurai jamais pensé avoir besoin d’aller en consulter un.

Je rencontre Mme Cassan Valette quelques jours plus tard et je me sens immédiatement en confiance. 

J’apprends que la sophrologie est une méthode de plus en plus utilisée et presque incontournable dans la prise en charge des accompagnements préopératoires. 

Je vais donc préparer mon corps et mon mental à cette opération.

Après un premier entretien, nous nous mettons d’accord pour un accompagnement de 4 séances à raison de 2 par semaine mon opération étant dans 3 semaines.

Je suis informé que tout comme un sportif je dois m’entrainer. 

Je commence la sophrologie en travaillant sur ma respiration afin d’amener de la détente et diminuer l’angoisse, le stress de l’opération. J’apprends la méthode du Geste Signal, afin d’amener rapidement un sentiment de détente, de sérénité en cas de besoin, de la relaxation, des méthodes de visualisation positive, mon lieu ressource … 

Je stimule mon corps dans son travail d’auto guérison, de cicatrisation, sur la gestion de la douleur

Le jour J est enfin là, j’ai eu quelques difficultés à m’endormir, mais ma nuit a été paisible.

Après une douche à la Bétadine (je déteste cette odeur et en plus j’ai faim !) j’enfile mon costume 3 pièces, la charlotte, la blouse et les chaussons de style, bleu indigo. 

L’infirmière me donne un comprimé pour me calme légèrement avant l’intervention.

Je décide de m’installer bien confortablement dans le lit et je commence mes exercices de respiration, que j’ai pratiqué ce matin dès le réveil, mon lieu ressource, mon geste signal (je serre mon poing plusieurs fois d’affilé). 

Mme Sylvestre vient me voir juste avant, il paraît que je vais avoir la figure enflée et des bleus à cause du traumatisme de l’opération. 

Je continue à serrer mon poing, et à chaque fois je sens presque immédiatement la paix, la sérénité, en moi. 

L’opération s’est bien passée, mon visage n’a pas gonflé et n’a eu aucun traumatisme et contrairement à ma sœur qui avait souffert plus de 15 jours, je n’ai rien senti.

L’infirmier m’a dit quelques heures plus tard que lorsque j’étais sur la table d’opération, je serrais mon poing sans arrêt et que dans la salle de réveil je continuais. Je lui ai alors expliqué la technique du GS

Quelques jours plus tard lors d’un rendez-vous de contrôle chez Mme Sylvestre, nous avons parlé de mon opération, avant, pendant, après. Elle a été agréablement surprise du résultat et depuis, oriente ses patients anxieux vers la sophrologie.

J’ai consulté Google sur la sophrologie, lu des articles, et j’ai décidé de la pratiquer régulièrement afin d’en faire une philosophie de vie. Je me rends donc une fois par semaine au sein d’un foyer rural, toujours avec Mme Cassan Valette et bien sûr je m’en sers au quotidien en fonction de mes moments de vie, d’envie.

 

Si je devais trouver un point négatif dans cette histoire, c’est la non prise en charge de la sophrologie pour la sécurité sociale. De plus en plus de mutuelles prennent en charge certaines séances mais étant étudiant je n’ai pas les moyens de payer une mutuelle, j’ai la CMU.

Mme Cassan Valette applique des tarifs étudiants, enfants et minima sociaux, sans ça je n'aurais jamais pur me faire accompagner.

 

Quentin F, 21 ans.

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Je rencontre Thérèse en 2015, à l'occasion  de son stage. Comme tout le monde j'ai déjà entendu parler de sophrologie dans les média sans jamais savoir exactement ce que c'est.

Mais, laissez moi faire les présentations, mon prénom est Germaine, j'ai 82 ans. Je suis maintenant en EHPAD depuis plus de 12 ans si mes souvenirs sont exacts. Ancienne femme d'affaires je suis ce que l'on pourrait nommer une femme de caractère. Certains disent même que j'ai un sacré caractère. 

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En 2004, j'apprends que je suis atteinte de la maladie de Parkinson, pour ceux et celles qui ne savent pas ce qu’est la maladie de Parkinson, je vais prendre le temps de vous l’expliquer. C’est ce que j’appelle la bête !!! vous comprendrez plus tard pourquoi. 

La maladie de Parkinson est une maladie dégénérative du système nerveux qui affecte le mouvement. J’ai commencé par avoir des tremblements et c’est d’ailleurs pour ça que j’ai consulté. Chez certaines personnes, la maladie progresse lentement, chez moi elle en a décidé autrement. Al'époque, j'ai de plus en plus de mal à effectuer des gestes du quotidien, mes gestes sont difficiles, rigides, saccadés et incontrôlables malgré les traitements. Quelques années plus tard je me retrouve en fauteuil roulant, manger seule est un luxe que je ne peux plus me permettre. Douleurs, difficultés de pensée, troubles de l’humeur, anxiété, troubles du sommeil, incontinence, fatigue sont plusieurs symptômes de cette fichue maladie !!! 

Je suis comme emprisonnée dans mon corps.

 

Je suis là, le jour de l’atelier, "présentation de la sophrologie" de Thérèse, je ne suis pas dans le groupe, mais je suis là et j’écoute. 

Je regarde cette personne, là debout devant nous toutes/tous. Elle est hésitante, mordille ses lèvres, tord ses doigts, je me souviens avoir pensé à ce moment là qu’elle était gauche, pas très bien dans ses chaussures, mais son sourire est chaleureux, sa voix douce, et st c'est une passionnée. Je suis une passionnée moi aussi. J'ai vécu ma vie en tant que telle, je me suis battue dans les affaires où j'excellais, je me suis battue pour être une femme libre. J'ai aimé aussi, beaucoup, passionnément, mon métier, mes amants et j'aime les gens passionnés même s'ils sont gauches, ils ne manquent pas de courage.

 

J’ai rencontré Germaine le jour de ma présentation de la sophrologie en EHPAD. 

J’ai toujours eu un rapport privilégié avec les seniors et j’ai donc décidé de faire mon stage avec eux. 

Malgré les avertissements de mon directeur, j’ai pris le risque, j’ai décidé de sortir de ma zone de confort. Je n’étais pas sûre de moi, les mots avaient du mal à sortir de ma bouche, c’est terrible cette sensation de boule dans la gorge, vous connaissez le proverbe, ce sont les cordonniers les plus mal chaussés ? A la fin de ma prestation, je vois une personne en fauteuil roulant, s’avancer vers moi, elle essaye de me parler mais je ne comprends pas ses paroles, elle s’énerve, je le sens, et puis je vois ses yeux, deux magnifiques yeux verts, bleus, je ne sais plus et puis après tout on s’en moque. Je me baisse pour me mettre à la hauteur de ces beaux yeux bleus, verts, et je pose ma main sur la main de Germaine. J’ai alors entendu difficilement quelques sons, d’abord, ensuite quelques mots entre ses lèvres … 

-          « Je veux venir moi aussi ». 

Sans en savoir plus, j’ai pris la fiche d’inscription et après avoir demandé l’autorisation à l’IDEC, j’ai inscrit Germaine dans le groupe de sophrologie.

Là, c’était sûr, je me casserais la figure, mais je me relèverais.

 

Et voilà, c’est comme ça que j’ai commencé la sophrologie

J’ai prévenu Thérèse que la « bête » se réveillait souvent en moi, la bête c’est quand je m’angoisse, je panique et je pousse de grands cris, j’insulte les personnes autour de moi, je souffre tant !!! En quelques séances, j’ai appris à « maitriser » cette bête, j’ai appris la respiration, j’ai appris à gérer les capacités qui étaient en moi et qui me permettaient de m’adapter, j’ai pu recommencer à manger toute seule, ce n’est pas toujours évident, je mange avec mes doigts, mais j’ai recommencé à toucher les aliments à ressentir leur texture, j’ai retrouvé le goût, la faim. La nuit quand je me réveille, même si c’est encore difficile j’arrive plus facilement à me rendormir et surtout, surtout, la bête est partie, cette bête qui m’empêchait d’avoir une vie sociale. Et quand je sens qu’elle pointe le bout de son nez, ça peut arriver je me mets à respirer et je fais mon geste signal, ou je pense à mon lieu ressource.

 

En quelques semaines, certains symptômes de la maladie ont régressé, toujours en accompagnement du traitement allopathique. Germaine a retrouvé une certaine mobilité dans sa main droite lui permettant de tenir sa fourchette seule. Elle a donc ainsi pu recommencer à manger sans aucune aide. Se servir de ses doigts aussi pour manger et ressentir le contact, ses aliments, son gout s’est à nouveau affiné, renforçant ainsi son appétit. Nous avons réussi à « maitriser la bête », même si nous savons qu’elle est toujours là, tapie dans l’ombre. Germaine sait maintenant qu’elle a en elle toutes les capacités pour arriver à la dompter. 

 

Je n’ai pas revu Thérèse depuis notre dernière séance, et même si la maladie progresse, elle progresse plus lentement car je sais que j’ai en moi toutes les capacités pour m’adapter. Je fais mes exercices de respiration tous les jours. Ce n’est pas toujours facile, mais je suis une femme forte, une forte femme, le fait qu’il soit placé avant ou après, ne fait pas de moi qui je suis car maintenant je suis, j’ai retrouvé cette flamme qui m’habitait. 

 

Je n’ai pas revu Germaine, je prends souvent de ses nouvelles, ainsi que des autres résidents, elle s’accroche, elle respire, elle stimule ses mains, c’est une belle expérience qu’il m’a été donné de faire. 

 

Merci de vous.

 

Germaine et Thérèse 

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Je continuerais en soulignant le manque de moyen de certaines maisons de retraite, EHPAD représentant malheureusement un frein à l'autonomisation, l'épanouissement et l'amélioration de la qualité de vie des résidents, des aidants ainsi que du personnel.

Je précise que je travaille en collaboration avec le personnel soignant.

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Thérèse Cassan Valette 

Sophrologie diplômée Feps, certifiée Rncp

06 85 70 11 81

https://www.sophrologue-beziersagglo.fr

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Je m’appelle Cathy et je suis la maman de Maxime 9 ans.

Il y a environ deux ans, nous étions dans une impasse. 

Maxime ne mangeait plus.

A chaque bouchée qu’il avalait il avait peur de s’étouffer et donc de mourir.

J’ai d’abord cru à un caprice, j’ai tout essayé, même les hamburgers d’une célèbre chaine de restauration rapide, les glaces, les sucreries mais rien n’y faisait.

Nous avons consulté notre médecin généraliste qui nous a orientés vers un pédopsychiatre.

Là aussi malgré de nombreuses séances, Maxime ne mangeait toujours pas.

Nous sommes donc passé à l’alimentation liquide hyper protéinée afin qu’il puisse fournir à son organisme l’énergie nécessaire.

La maitresse aussi m’a convoqué plusieurs fois, l’attitude de mon fils était problématique, il perturbait la classe. Je me sentais totalement perdue, j’étais à bout.

Une amie m’a parlé de sophrologie, sa fille voyait une sophrologue toutes les semaines pour des troubles du comportement et elle était pleinement satisfaite. 

Je me souviendrais toujours du jour où j’ai composé le numéro de cette sophrologue, de notre première rencontre. Mme Cassan Valette a d’abord souhaité nous rencontrer tous les deux, Maxime et moi. Nous avons parlé, beaucoup, j’ai souvent eu les larmes aux yeux, nous avons souri, ri, aussi mais en sortant de là nous nous étions sentis écoutés, compris et surtout nous avions retrouvé l’espoir.

La sophrologue m’a demandé si Maxime avait été diagnostiqué TDHA (trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité) Je ne savais même pas ce que c’était. Elle m’a alors invité à en parler avec la pédopsychiatre. 

Et en effet, après plusieurs consultations auprès d’un médecin spécialisé, Maxime a en effet été diagnostiqué TDHA :

-          difficultés de concentration, 

-          déficit de l’attention, 

-          impulsivité marquée, 

-          hyperactivité.

Nous avons enfin pu poser des mots sur ce dont souffrait Maxime.

Le diagnostic ayant été posé rapidement, la prise en charge thérapeutique a permis une diminution du retentissement du TDHA sur notre vie.

Mme Cassan Valette a travaillé dans ce sens en collaboration avec le personnel soignant, 

et depuis mon fils va beaucoup mieux.

Nous commençons souvent les séances à deux, nous respirons ensemble, ensuite je prends du temps pour moi pendant que Maxime fait sa séance. 

Il a recommencé à manger, son alimentation est presque normale. Bien sûr, il y a des jours où c’est plus difficile que d’autres. Son comportement en classe aussi s’est amélioré, pour Noël, j’ai même eu droit à un bonhomme vert que mon fils m’a ramené fièrement de l’école. 

Maxime continue ses séances de sophrologie, tous les mercredis matin pendant 45 minutes et c’est toujours un très bon moment pour lui. L’autre jour il m’a parlé d’un bucheron qui coupait du bois dans la forêt et d’un chasseur, il m’a mimé l’histoire. Il a appris à respirer à toute la famille. 

Je suis consciente que le chemin est encore long est semé d’embuche mais il est beaucoup plus facile d’avoir de l’espoir quand on sait devant quelle difficulté on se trouve, nous avons trouvé un certain équilibre, nous sommes confiants.

 

 

Cathy et Maxime S.

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5 - Atelier "Sophro sez-sens".

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"Je retrouve le calme et la sérénité".

 

J’ai rencontré Thérèse la semaine dernière lors de la première saisonnière de son atelier « Sophro nez-sens »

J’ai tout d’abord été surpris de sa gentillesse et de la simplicité avec laquelle nous sommes accueillis.

Nous pénétrons dans un jardin, entouré de petites lucioles, un olivier, un volubilis qui monte le long du mur. C’est très agréable. Une légère musique flotte dans l’air. La description ne nous a pas trompé ambiance conviviale et chaleureuse. J’aime beaucoup la simplicité, je me sens souvent mal à l’aise dans les soirées. Là tel n’est pas le cas.

Thérèse nous propose ensuite de nous installer, puis elle se présente. 

C’est ensuite à notre tour, les uns après les autres.

Ce soir nous sommes 9, dont 8 participants. 

Nous trouvons immédiatement nos repères et discutons tous d’un ton léger, enjoué.

C’est comme si nous nous connaissions depuis longtemps.

Thérèse nous explique ensuite le déroulement de la pratique.

Je ressens de la curiosité, de l’excitation … j’ai aussi les chocottes.

Nous avons réservé depuis l’année dernière, car nous n’avions pas eu de place pour la dernière.

La séance commence enfin, mon cœur bat vite, nous sommes invités à fermer les yeux et là, commence l’aventure …

Je n’ai jamais fait de sophrologie, ni aucune autre pratique de méthode de développement personnel, je suis ici ce soir sur les conseils d’un ami qui a vécu l’expérience l’année dernière. Il était tellement fébrile que moi aussi je voulais voir ça.

Les lumières s’éteignent, seules les bougies sur la table restent allumées.

Devant nous, un verre de vin rouge, j’ai déjà hâte de le goûter, le découvrir.

Nous sommes invités à fermer les yeux et écouter, entendre, nous relier …

Puis à rouvrir les yeux et à regarder, observer, accueillir …

J’en ai l’eau à la bouche tant j’ai hâte de le goûter ce vin …

A’ sentir, à toucher, puis enfin à goûter !

C’était pire qu’un orgasme tantrique, enfin, je crois !

Et me voilà avec ce liquide dans la bouche …

Ce liquide qui éveille tant de choses en moi, des émotions, des sensations, des ressentis,

J’ai envie de pleurer, de rire, j’ai chaud, j’ai froid …

Je me sens bien, et c’est agréable … 

Bon bien sûr, j’ai résumé et puis je préfère vous laisser découvrir le reste, mais c’était une expérience incroyable.

A la fin de la pratique nous sommes tous invités à partager notre vécu, c’est un échange basé sur le volontariat, rien n’est obligatoire.  Je suis touché par les témoignages.

Puis nous terminons la bouteille en dégustant quelques mises en bouche de produits locaux préparés par Thérèse.

La séance s’est terminée à 22 heures, nous avons pu rester un peu plus longtemps dans le jardin au milieu des lucioles, nous avons parlé, longtemps, de nous, de cette expérience. J’ai échangé mon numéro avec quelques personnes, nous nous sommes trouvé des points communs.

Trois personnes ont demandé à s’inscrire au cours de sophrologie du foyer rural de Lignan- sur-Orb, j’y pense aussi. 

Je pense que cet atelier m’a mis sur le chemin et que je ne peux pas m’arrêter maintenant, je pense aussi que les choses arrivent quand elles doivent arriver, il faut simplement que je trouve le temps … 

Dans le cabinet de Thérèse il y a un panneau au mur sur lequel est écrit :

« Je prends du temps pour moi, je prends soin de moi » … 

Peut-être est-ce le moment pour moi aussi …

 

Claude B. 47 ans.

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7 - La sophrologie dans l'accompagnement à la gestion du stress, la confiance en soi, la gestion des émotions et la découverte des valeurs de vie.

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J'ai rencontré Thérèse lors d'un atelier de sophro dégustation de thé. Cette première séance m'a fait découvrir le thé et pourtant je déteste le thé, ça me rend malade !

Alors me direz-vous pourquoi participer ? J'étais invité et je n'ai pas osé décliner l'invitation.

Et c'était parfait !!!

Ce soir là, j'ai pris le temps de le découvrir pour la première fois, avec mes sens, j'ai pris le temps de l'écouter, de le regarder, de le sentir, de l'observer, de le goûter et j'ai aimé, oui j'ai aimé faire cela. Sentir les arômes du thé m'a comblé le temps de cette expérience. 

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Quelques mois plus tard, j'ai pris rendez-vous pour la gestion du stress, des émotions, j'avais besoin de canaliser ma colère, de la comprendre, la ressentir, j'avais besoin d'apprendre à m'en libérer, mais avant de m'en libérer il fallait d'abord que je la comprenne.

Je passais par des périodes d'angoisses, de doute, de dépression ...

Au fur et à mesure des séances, j'ai appris beaucoup de choses sur moi, j'ai appris à m'accepter, à m'aimer, j'ai appris à ne pas poser de jugement sur mes pensées, mes actes. Mes défauts, mes qualités, ce n'est pas bien, ce n'est pas mal, c'est ...

Je suis, je sens, je ressens et j'existe.

J'ai le droit de ressentir, j'ai le droit de dire, j'ai le droit d'aimer ... J'ai aussi le droit d'être aimé.

J'ai enfin compris qu'avant de m'occuper des autres je devais m'occuper de moi, que chaque fois que je disais oui quand je n'en avais pas envie je me disais non. Qu'apprendre à s'aimer c'est aimer les autres...

Oui, j'ai beaucoup appris, et j'apprends encore, aujourd'hui je suis en posture d'ouverture. J'accepte les choses sans les juger, je me sens bien dans ma vie, dans mon corps, je me sens forte.

Je prends du temps pour moi, je prends soin de moi (c'est la devis de Thérèse).

Je sais ce que je veux et surtout ce que je ne veux plus.

Merci mille fois Thérèse de ton accompagnement.

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Anaïs T. 23 ans.

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8 - Retrouver la confiance en soi, l'estime de soi.

Oser s'affranchir d'une relation toxique.

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J’ai été mariée 23 ans à un pervers narcissique et pourtant j’étais follement amoureuse, je crois.

Je sais ce que vous allez penser, mais pourquoi rester ?

J’ai souvent pensé la même chose pour les femmes battues, je me disais mais pourquoi restent-elles ?

Et avec Thérèse j’ai compris pourquoi en fait. 

La zone de confort !!! sortir de sa zone de confort est si difficile, ça fait terriblement peur même si elle n'est pas forcément confortable.

On la connait, on ne connait pas la vie en dehors de cette zone de confort, et c'est terrifiant.

23 ans de mariage, 3 enfants, 2 dépressions, des troubles alimentaires, des TOCS, des crises d’angoisses plus tard me voilà chez la sophrologue sur les conseils de mon généraliste. 

Je me souviens avoir parlé beaucoup au premier rendez-vous, enfin, je crois, pleuré aussi, écouté aussi, la voix douce et paisible de Thérèse. Je me sentais enveloppée par sa voix. J'ai entendu "je comprends" et ce "je comprends" fut magique !!!

En sortant je continuais à pleurer dans la voiture, il pleuvait, je me suis garée, j'ai mis la musique à fond et j'ai chanté, chanté, hurlé !!!

J’ai compris ce jour-là que me relation été toxique, que je m’étais oubliée, je lui avais donné le pouvoir. J’avais perdu toute confiance en moi, toute estime de moi. Il fallait que je les retrouve, il fallait aussi que je gère mon stress, mes émotions et que je travaille sur mes valeurs. Savoir ce que je voulais mais surtout ce que je ne voulais plus.

Tout en continuant mon parcours sophrologique avec Thérèse, j’ai cherché du travail et même si ce ne fût pas facile, j’en ai trouvé. 

J’ai commencé à mi-temps, je suis maintenant à temps plein, changé de garde-robe, coupé mes cheveux, aujourd’hui je me maquille, aujourd'hui je vis, je n'ai plus peur.

Malgré nos disputes de plus en plus fréquentes et le mécontentement de mon mari j’ai tenu bon. J’ai osé, j’ai parlé, mes ressentis, mes émotions, j’ai tout dit … 

J’étais prête à tout quitter, je me sentais enfin libre, mes chaines étaient brisées.

Je suis partie, seule quelques jours en vacances, loin, très loin. Je n’aurais jamais cru être capable de ça. 

3000 kms en avion, seule, des milliers de km de mes enfants, de mon mari, de moi avant, avant la sophrologie, avant ma prise de conscience.

En rentrant mon mari m’attendait, il avait maigri, il pleurait, ses bagages étaient dans l’entrée. Je le regardais des larmes pleins les yeux et pourtant je n’éprouvais aucun remord, aucune culpabilité, je n’éprouvais plus rien en fait, je ne ressentais pas d’émotion particulière. Il était tard, il m’a demandé s’il pouvait passer la nuit à la maison. Je n’ai pas dit non. Le lendemain, nous avons parlé, beaucoup, il s’est excusé, m’a promis de faire des efforts, mais en avais-je encore envie ? J’avais gouté à la liberté, quelque chose en moi ne voulait plus de lui dans ma vie. 

Nous nous sommes séparés, sans bruit, cela fait maintenant plus de 10 mois. Nous sommes amis maintenant, je crois, mais je reste prudente.

Je continue la sophro avec Thérèse, je suis heureuse.

Je vois quelqu’un depuis quelques temps. Il ne s’est encore rien passé, c’est tout nouveau pour moi. Je ne sais pas encore s’il se passera quelque chose, mais je me sens bien. Nous avons beaucoup de choses en commun, une en particulier, la sophrologie, car c’est pendant les séances de sophrologie au foyer rural que nous nous sommes rencontrés. 

Voilà mon histoire, mon histoire d’avant et de maintenant. 

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Aude S. 48 ans.

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*Ecrit sur la base de témoignages volontaires, seuls les noms et les lieux ont été changé afin de ne pas perturber la vie privée de mes patients.

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Thérèse Cassan Valette

Sophrologue

Diplômée Feps, certification RNCP

06 85 70 11 81

https://www.sophrologue-beziersagglo.fr

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Sophrologie préopératoire

Préparer une intervention avec la sophrologie

Il y a 6 mois, je consulte ma dentiste pour une rage de dents et une haleine fétide.

Verdict : Infection d'une dent de sagesse.

Je fais tous les examens et j'apprends que l'opération est délicate. Ma dent est mal positionnée et il va falloir briser les os de ma mâchoire pour l'extraire !!!

J'en ai froid dans le dos.

A partir de ce moment, je ne dors plus et je suis angoissé, j'ai peur de l'opération, peur de l'anesthésie et surtout peur de ne pas me réveiller, en gros peur de mourir. 

J'ai des difficultés à m'endormir, je suis réveillé en sursaut couvert de sueurs, je m'étouffe ...

C'est un cauchemar !

Le sportif

et la sophrologie

Ci joint un sms que j'ai reçu ce matin ...

"Bonjour, bien rentré de la course à A., je suis très content de mes résultats.

Dans ma catégorie nous étions 40 participants, à la 1er course j'ai fini à la 6ème place et à la deuxième, 8ème. 

Papa était très content de moi et moi aussi.

J'ai fait tous les exercices avant le départ et tout s'est super bien passé, je suis très content.

Merci beaucoup pour votre aide qui a rendu ce week-end exceptionnel.

Bonne soirée. A.

La sophrologie 

à l'Age d'Or

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La sophrologie

et la maladie dégénérative

chez les séniors

Optimisez vos performances

La sophrologie et les troubles TDHA chez l'enfant

La sophrologie et et l'accompagnement 

au changement.

La perte de poids, l'acceptation de son corps dans son unité

Avant de vous disputer, respirez ...

Avant de parler, écouter ...

Avant de critiquer, examinez-vous ...

Avant de faire mal, apprenez ...

Avant de renoncer, essayez ...

Avant de mourir, vivez ...

Voici ma philosophie de vie.

8 - Attaques de paniques, anxiété, troubles du sommeiI

17 mars 2020, 1er confinement.

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Je ne sais pas encore ce qu'II m'arrive, ce qu'II nous arrive. Nous avons appris qu'une maladie dangereuse nous menaçait. J'ai croisé Ie voisin ce matin qui s'est un peu moqué de moi en me disant que ce n'était qu'une simple "gripette", j'aimerais bien Ie croire mais malheureusement je ne Ie pense pas. J'ai fermé mon institut Ies Iarmes aux yeux. A 53 ans Ia situation est inédite. 

Je passe Ies premiers jours confinés avec mes enfants, et même si je me sens quelque peu inquiète j'avoue que nous redécouvrons une nouveIIe façon de vivre. Nous nous Ievons pIus tard, nous déjeunons ensemble, nous découvrons une vie autrement. 

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